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La « shoah » : fondement idéologique de la domination sioniste


Les coups de boutoir de Dieudonné ont forcé ces dernières semaines le pouvoir sioniste à se révéler très clairement quant au rôle pilier de la « shoah » dans son idéologie, celle là même qui a globalement structuré le système de pensée des sociétés occidentales depuis maintenant des dizaines d'années.

Manuel Valls avait commencé par déclarer « La shoah est un sanctuaire. On ne peut pas le profaner tous les soirs dans un spectacle » (BFMTV, 21 janvier 2014).

Vincent Peillon ensuite : « Il y a ce qui concerne par exemple l'enseignement de la shoah, mais l'enseignement des génocides aussi, tout en gardant la spécificité de la shoah » (30 janvier 2014, i24news)

Et tout récemment, Manuel Valls enfonçait le clou :
Question : Que dites-vous aux gens qui pensent sincèrement qu’en France il y a deux poids deux mesures et que les atteintes aux Musulmans et aux catholiques ne valent pas celles faites aux Juifs ?
Manuel Valls : « Je leur dis que la Shoah, l’extermination des Juifs, le génocide, doivent être sacralisées, sacrées. Et quand on commence à s'attaquer à cela, c'est l'ensemble de notre système de valeur qui est atteint. » (Canal +, 2 février 2014)

Le deux poids deux mesures flagrant

Cette dernière réponse de Manuel Valls est particulièrement lapidaire. Il n’admet donc aucune discussion possible sur le deux poids deux mesures permanent en France, en faveur des Juifs. Nous vivons pourtant dans un pays où une seule victime juive dans l’année fait s’émouvoir toute la classe politico-médiatique à outrance et déplacer les ministres sur les lieux du crimes, sans même attendre que l’enquête ne démontre le mobile antisémite. Et lorsque l’enquête écarte finalement ce mobile après quelques temps – ridiculisant ainsi la classe politique et son indignation hâtive – pas le moindre regret ou mea culpa de la part des hommes politiques, qui auront donc emmerdé – le mot est faible – toute la France avec un antisémitisme qui n’existe pas.

On pourrait faire une longue liste de ces cas, comme la fameuse fausse agression antisémite du RER D, l'auto-mutilation du Rabbin Fahri en 2003 ou bien le faux incendie d'un centre social juif en 2004 (voir cette page).

Pendant que ces comédiens de la République défilent et se prosternent devant le lobby sioniste, de très nombreuses victimes non-juives, sont agressées et tuées parce que blanches, arabes, noires ou musulmanes. En clair, lorsque la victime est du « peuple élu », elle a plus d’importance et mérite plus de considération que les autres ; plus encore, tout le monde, et la République surtout, doit s'arrêter de vivre, s’incliner et se soumettre devant elle. Le sionisme a alors la prétention et l’arrogance d'affirmer que lorsque l’« on s’en prend à un Juif, on s’en prend à l’humanité toute entière » ! Quel ethno-nombrilisme !

Il faut réaliser que cette rhétorique victimisante et culpabilisante n’est pas nouvelle, et constitue une véritable stratégie conscientisée de la part du sionisme. Citons par exemple une déclaration datant de 1931 du Président de l'American Jewish Joint Distribution Committee, alors plus grande organisation humanitaire juive au monde : « 6 millions de Juifs en Europe de l'Est font face à la famine, et le pire est à venir durant de l'hiver prochain. Si des fonds additionnels ne sont pas réunis par l'American Jewish Joint Distribution Committee pour atteindre un budget estimé de 2 500 000 $, un chaos et une misère sans précédents imposeront une honte éternelle à l'humanité dans son ensemble » (29 Décembre 1931 - The Gazette, Montreal). Déjà à l'époque, l'humanité devait se repentir de la souffrance de 6 millions de Juifs ! On remarquera que le mythe des 6 millions de Juifs en souffrance faisait déjà fureur en 1931, 2 ans avant qu'Hitler n'arrive au pouvoir, et 8 ans avant que la deuxième guerre mondiale ne commence ! On pourra consulter d'autres références à cette propagande de la figure des 6 millions de Juifs et de l'« holocauste » sur les pages suivantes : Le mythe des 6 millions avant 1900 et Le mythe des 6 millions après 1900. Ce cirque dure depuis plus d'un siècle au moins !

Les sionistes se font donc une spécialité de se victimiser, et de culpabiliser la planète entière, avec leur souffrance spécifique, plus douloureuse et plus horrible que n’importe quelle autre, et sous laquelle on doit s'incliner.

Cette hiérarchie des races de victimes, conséquence de l’égoïsme et du sentiment de supériorité, n’est ni plus ni moins que... du racisme ! Un racisme sournois et pervers qui ne dit pas son nom, et d’autant plus dangereux qu’il avance masqué, sous le masque de l’antiracisme... Il n’y avait que les sionismes pour réaliser cette prouesse... Au moins Jules Ferry avait la franchise de dire clairement que les races dites supérieures avait le droit et le devoir de civiliser les races dites inférieures ! Que l’on n’attende donc pas de franchise de la part de la clique sioniste, dont la particularité est l’absence totale d’intégrité et de loyauté vis-à-vis de ceux qui ne sont pas comme eux.

Il s'agit là chez eux de cette fameuse « chutzpah », mot venant de l'hébreu qui désigne le culot, l'arrogance, l'audace et l'absence de honte. Cette chutzpah permet par exemple à un Patrick Klugman de dénoncer l' « antisémitisme » lorsque l’on fait une quenelle devant une synagogue, et en même temps de se faire l’avocat des Femen qui urinent devant les Eglises.



Ce même culot, François Hollande en a fait preuve lorsqu'il a asséné froidement lors de la journée de l'abolition de l'esclavage « l’histoire ne se monnaye pas », à l'adresse des associations noires de France.



Quel mépris monstrueux alors que le Shoah-Business rapporte des milliards depuis 1945 ! On ne détaillera pas toutes les réparations financières que l'Allemagne surtout et d'autres pays ont dû verser à Israël en « réparation de la shoah ». Claude Sarraute avait très bien exprimé cela en répondant à une Arménienne « Regardez nous les Juifs ce qu'on a réussi à faire avec notre shoah. On l'a vendue partout, on est couvert d'argent, on est vraiment plus fort que vous ».



Bref, l'histoire ne monnaye pas, sauf pour les sionistes, qui en font de plus un business extrêmement juteux !

Manuel Valls n'est pas non plus en reste dans le deux poids deux mesures. Lui qui s'acharne contre Dieudonné et tous les Quenellistes, et s'attaque à la liberté d'expression au nom de l'antisémitisme. Devant le deux poids deux mesures éclatant causé par la bienveillance à l'égard des Femen, Valls avait fini, avec 2 semaines de retard, par condamner mollement l'action des urineuses devant les Eglises. Nul doute que si cela s'était passé devant une synagogue, Valls et ses correligionnaires seraient sur le champs montés au créneau et mobilisé toute la République !

Mais rappelons nous quelques années auparavant lorsque le petit ministre s'était déplacé à la représentation de la pièce de théatre Golgota Picnic dans laquelle on jetait des excréments à la face du Christ, pour défendre la liberté d'expression.



La contradiction intellectuelle est flagrante et révèle tout l'art du calcul politique qui est celui de Manuel Valls, qui tente gentiment de calmer le jeu lorsque le deux poids deux mesures est trop voyant. Il n'en reste pas moins pour Valls que l'on peut jeter des excréments à la face du Christ dans une pièce, mais que Dieudonné ne peut pas tourner en dérision la shoah ou le sionisme dans ses spectacles.

La rupture idéologique avec Dieudonné

Bref Manuel Valls se veut borné, et ne veut pas reconnaître le deux poids deux mesures en France en faveur des Juifs ; il persiste et signe, et entérine la hiérarchie des races de victime régie par la suprématie de la souffrance spécifique que serait la shoah.

Certes, ce racisme sournois n’est pas nouveau. Après tout, la spécificité de la shoah et de l’antisémitisme sont martelés dans les cerveaux des moutons depuis des dizaines d’années. C'est pour cette raison que s'était produite la fracture entre les différentes officines antiracistes, à partir de 2004. SOS Racisme organisait alors une manifestation pour fêter ses 20 ans sous le mot d'ordre « Contre l'antisémitisme », censé être le racisme le plus important, situé tout en haut de la hiérarchie. Mais le Mrap, la Ligue des Droits de l'Homme, la LCR et les Verts avaient refusé de participer si on ne changeait pas le mot d'ordre en « contre tous les racismes et pour l'égalité des droits ». Même si ces derniers n'étaient pas franchement attentifs aux souffrances des Français de souche et des Chrétiens, c'est le moins que l'on puisse dire, ils avaient par ailleurs bien perçu qu'il y avait en France un racisme bien plus important à dénoncer que tous les autres...

Mais il semble bien qu'aujourd’hui les Français commencent sérieusement à se rendre compte de la supercherie, et en ont plus qu’assez de ces rituels religieux grotesques d’inclinaison et de soumission à la shoah. Comme le disait très justement un dessin humoristique, il est temps dans ce pays de réaliser la séparation de la shoah et de l'état !

Cette shoah est en effet au centre des débats de société les plus déterminants, même lorsque ce n’est pas dit explicitement. Il n’est d’ailleurs pas besoin de la nommer tout le temps, car chacun sait parfaitement qu’elle fait de la critique du sionisme la ligne rouge, l’autocensure faisant alors le reste. Les vaches ne s'approchent jamais trop près du fil électrique...

Et c'est donc cette ligne de fracture très précisément qui définit la rupture frontale entre le système et la résistance incarnée par Dieudonné. Celui-ci déclarait en effet :

« Moi j'attaque tout le monde ! Je fais des sketchs sur les juifs, les Musulmans, les Chrétiens, les Américains, les Chinois et même les chefs d'Etat africains. Mais là je suis tombé sur ceux qui sont garants de la morale. On peut rire de tout sur cette planète, mais on s'arrête aux Juifs. Parce qu'ils sont le peuple qui a le plus souffert, ce qui est faux. C'est un peuple qui a souffert, personne ne le nie, mais cette souffrance n'a rien d'unique, rien de singulier. C'est une souffrance qui appartient à l'humanité, mais c'est pas plus pas moins. C'est ce que je dis, mais ils n'aiment pas l'entendre. »

La rupture entre Dieudonné et le système sioniste est encore plus nette lorsque l'on constate que le premier fait rire avec la souffrance noire, et que le deuxième veut fait pleurer avec la souffrance juive. Les 2 approches sont radicalement différentes, et définissent clairement les deux options qui s'offrent à l'humanité en cette époque charnière : malgré le constat accablant de la violence humaine qui sévit dans ce monde, voulez-vous rire ou pleurer ? Dans le premier cas, on a une chance de transcender la souffrance pour quitter la dualité victimisation-bourreau, et s'élever spirituellement pour créer un monde de paix. Dans le deuxième on est constamment maintenu plus bas que terre dans l'énergie négative de la tristesse, qui elle même engendrera le désespoir, puis la révolte et de nouveau la violence. Nous affirmons clairement que l'humanisme, l'authentique, ne peut-être associé qu'à la joie. A l'inverse, la domination s'accompagne systématiquement de la tristesse. Un peuple réellement joyeux, au sens de la vraie joie du coeur, ne peut-être dominé...

La shoah : la souffrance qui permet tout

Mais pourquoi donc faire de la shoah un concept devant lequel la République doit se soumettre ? Parce que la shoah excuse et permet toutes les exactions, y compris les pires horreurs, et constitue la base idéologique de la domination sioniste.

Elle permet tout d'abord de massacrer les Palestiniens en toute impunité depuis 1945, et de coloniser leurs terres. « Ne jamais oublier la shoah » à quoi ça sert, si c’est pour fermer les yeux sur Plomb Durci et son phosphore blanc ? Parce que bien sûr, « les pauvres Juifs ayant souffert », plus que tous les autres, « il faut les comprendre » et l’on peut fermer les yeux sur les persécutions qu’ils infligent à autrui... Voilà globalement le raisonnement du consommateur moyen et peureux qui ne voudra pas un instant se mettre à la place d’un Palestinien et se demander s’il n’y a pas là une injustice délirante... Certes, les voix à s’élever sont de plus en plus nombreuses, mais n’importe quel autre pays qu’Israël aurait été sanctionné et mis à l’écart immédiatement pour de telles pratiques contraires à l’Humanisme et à toutes les règles du droit international.

Le conflit Israëlo-Palestinien constitue en outre le principal foyer d’instabilité mondiale, et de là un risque majeur de guerre mondiale. Il s’agit en effet d’un conflit dans lequel sont impliqués de près ou de loin les principaux acteurs de ce monde. Les Etats-Unis et l’Angleterre bien sûr, mais aussi l’Iran, la Russie et la Chine notamment.

Et même sans aller jusqu’à la guerre mondiale, on constatera que toutes les guerres impériales des Etats-Unis ont été menées au nom de l’antifascisme. Certes l’agression irakienne fut largement justifiée par le coup monté du 11 septembre et sa campagne de terreur contre le terrorisme. Mais l’équation lapidaire Saddam Hussein = Hitler fut largement étalée dans les médias, ce depuis la première guerre du Golfe. Relevons de manière anecdotique cette campagne juive de propagande contre l'Irak qui eu lieu en 1991, et qui affirmait que les Irakiens possédaient des chambres à gaz de fabrication allemande pour les Juifs !



On eut droit bien sûr à la même diabolisation contre Milosevic pour justifier l’intervention en Yougsolavie, ou contre Mahmoud Ahmadinejad, tous des Hitler en puissance. Et si la reductio ad hitlerum n’est pas employée, c’est alors l’équation Islam = Nazisme, ou bien, résumé par le barbarisme : Nazislamisme, clé de voûte idéologique du conflit de civilisation américano-sioniste.

Voilà comment la shoah constitue l'argument central dans la guerre psychologique qui précède toutes les guerres modernes menées par les Etats-Unis et Israël. Le devoir de mémoire shoatique comme raison à la guerre, il fallait y penser !

De manière à peine moins cynique, remarquons que l'apartheid de l'état d'israël fut lui aussi longtemps cautionné sous prétexte de la souffrance-de-la-shoah-qui-permet-tout. Heureusement, ce chantage détestable fonctionne de moins en moins, et l'apartheid israëlien est aujourd'hui de plus plus dénoncé sur la scène internationale.

Plus près de chez nous, la shoah permet aux Juifs d’être sur-représentés dans des domaines clés tels que la finance, la politique, les médias et les milieux du spectacle. Celui qui voudra dénoncer ce déséquilibre qui créé une véritable caste de privilégiés dominante sera en effet immédiatement accusé d’antisémitisme. Et s’il ne se soumet pas à cette intimidation, l’accusation de ne pas respecter les morts de la shoah viendra achever sa tentative de rébellion.

Le communautarisme et l’éclatement de la France ? Là encore, la shoah a fait son œuvre de destruction, en constituant la base de toute la rhétorique antiraciste, qui a constitué un véritable mur de conflit victime-bourreau entre les communautés, rouvrant sans cesse les plaies sanglantes du passé, et élevant la méfiance et la suspicion entre les races au stade de la psychose.

Mais quoi d’étonnant que SOS Racisme ait élevé les communautés d’origine africaine fraîchement arrivées au biberon de la victimisation, qui n’est finalement que son propre modèle identitaire, le modèle de vie sioniste ? Mais attention, dans ces victimisations, il y en a une plus grave et plus sacrée que toutes les autres : Sainte Shoah bien sûr ! Si les sionistes voulaient prendre sous leur aile les communautés d’origine africaine afin de les liguer contre les vilains Français de souche collaborationnistes et esclavagistes, il ne fallait tout de même pas que la traite des Noirs supplante la shoah ! Le respect implacable de la hiérarchie des souffrances est sacré : la shoah, grâce à sa spécificité, est championne des souffrances !

Une autre conséquence directe à cela : l’impossibilité de critiquer, même de manière pragmatique et modérée, la politique d’immigration massive, sous peine d’être taxé de raciste honteux. Cette politique folle – mais qui a aussi beaucoup apporté à la France – a aggravé les difficultés d’intégration des immigrés et des générations suivantes, et entraîne un sentiment légitime de perte d’identité chez les autochtones, qui – on ne voit pas comment on peut leur reprocher – aiment le plus souvent leur culture et leur pays comme on aime une mère.

Nul doute que SOS Racisme n’a vraiment pas rendu service aux personnes d’origine africaines, déjà parquées physiquement dans des ghettos de béton – quelle preuve d’amour et de considération à leur égard... En copiant le modèle de victimisation de SOS Racisme, ces populations étaient en plus socialement maintenue à l’écart dans ce statut de victimes emmerdantes à qui l’on ne pouvait pas parler franchement et honnêtement, et qui avaient le droit pour certains des plus jeunes d’agresser le Français de souche ou de commettre les pires incivilités sans être fermement remis à sa place. Qui aime bien châtie bien dit-on. De ce point de vue, SOS-Racisme n’a jamais aimé ces enfants là...

Mais heureusement, l’étincelle de réconciliation déclenchée par le duo Dieudonné et Alain Soral a fait son oeuvre et mis en lumière la vraie nature de l’Homme Noir : marcher debout, fier et tête haute ! C’est bien parce que c’est sa nature que nombre de personnes d’origine africaine se sont émancipées de la tutelle de SOS Racisme, refusant de vivre dans un état de victime contre-nature qui ne mène nulle part, et n’épanouira jamais nul Homme sur terre. Vivre d’égal à égal avec le Français de souche, mêmes droits et mêmes devoirs, sans passe-droit, faveur ou faux sourire de circonstance : voilà le discours de vérité qu’il fallait avoir avec les personnes d’origine africaine. C’est sur cette base que se rassemblent les Universalistes de toutes origines – sans pour autant nier les identités –, réconciliation qui a commencé à produire un vrai miracle dans la société française.

L’affaire Dieudonné fut à cet égard bien sûr totalement révélatrice de l'arnaque intellectuelle de la shoah. De simples blagues sur les fort suspectes chambres à gaz, ou qui s'attaquent au chantage à la shoah, et on peut alors interdire en France des spectacles et des meetings à priori. Ce prétexte sert ensuite à censurer internet, qui comme le disait Christophe Barbier le journaliste goy le plus collabo de France, peut très bien se contrôler comme le fait la Chine ! Voilà qui donne une idée de la censure qui doit régner à l'intérieur de son propre journal L'Express. Bref, de la shoah à la censure d’internet il n’y a qu’un pas...

Et la shoah permet bien d'autres petits méfaits au jour le jour. On a vu récemment avec les sieurs Miller, Prasquier ou Tubiana, que la « souffrance de lumière » permettait d’avoir des comptes en Suisse non déclarés sans que cela n’entraîne de contestation sérieuse ! Cahuzac n’a pas eu lui cette chance d’être juif, et fut mis au ban immédiatement. Deux poids deux mesures encore et toujours...

L’anathème shoatique peut même être utilisé pour contrecarrer la dénonciation de la pédophilie ! C'est ainsi que Jacques Thomé, qui enquête sur la pédophilie à Outreau, fut traité de « négationniste » !  (voir cette vidéo entre 20 et 22 min). Le mensonge dégueulasse de la shoah permet vraiment de cautionner les pires horreurs !

La shoah empêche toute critique sérieuse du système

Mais il convient aussi de s’interroger sur la manière dont la shoah a pu finalement empêcher toute critique sérieuse et citoyenne de la politique. Nous exagérons ? Nous ne le pensons pas, et voici pourquoi.

Chacun sait que la remise en cause de la version officielle des attentats du 11 septembre – démolition contrôlée qui se voit comme le nez au milieu de la figure – entraîne immédiatement l’accusation d’antisémitisme et de négationnisme. Lien à priori farfelu, mais ceux qui le font savent mieux que personne les implications d’Israël dans ce coup monté ignoble.

Mais ce n'est pas le seul lien. Comme l'a parfaitement formulé Manuel Valls, « ce sont les mêmes qui remettent en cause la version officielle du 11 septembre, qui voient des complots dans les réunions du club Le Siècle – club politique qui réunit des hommes de pouvoir de droite et de gauche – ou les réunions mondialistes du Bilderberg, qui parlent d'un complot mondialiste et d'un complot judéo maçonnique, et qui nient la shoah » ! Cette réponse formulée par Manuel Valls face aux questions de l'organisation We are Change est édifiante !


Manuel Valls face à We Are Change Paris par wearechangeparis


Voilà comment Jean-Marie Bigard fut déguisé en « négationniste » lorsqu’il s’était permis de douter publiquement de la thèse officielle du 11 septembre. C’est donc toute la démarche complotiste bien comprise qui est diabolisée et empêchée. Dés l’instant où vous pensez que des agendas secrets sont décidés dans les réunions secrètes des gens les plus puissants de la planète, comme au Bilderberg, dans le club francophone le Siècle, ou dans les loges maçonniques, vous êtes un méchant complotiste, au mieux un malade mental.

Et par extension, dés l’instant où vous osez imaginer que les politiques ne disent pas la même chose derrière les caméras et devant, vous êtes un complotiste. Quelle saine démarche citoyenne pourtant, que de se demander ce qui peut se dire réellement dans les coulisses de la politique, et d’essayer de comprendre les véritables intentions cachées derrière les beaux discours. Non, cette démarche pourtant nécessaire est interdite, et ôte au citoyen sa responsabilité d’acteur informé, critique et conscient, rôle fondamental sans lequel la démocratie ne peut exister. Autrement dit, nous affirmons clairement que le complotisme bien compris est l'hygiène du citoyen apte à la démocratie.

On est donc censé être un imbécile heureux, béat devant les discours politiques, qui correspondent parfaitement aux réelles intentions des hommes politiques, par nature transparents comme l’eau claire ! Voilà comment de fil en aiguille, la shoah empêche toute contestation sérieuse et en profondeur du système. Et il nous apparaît d’une extrême importance d’en avoir conscience.

Et voilà également pourquoi, au delà de la simple intimidation intellectuelle malsaine face à ses prétendus morts, la shoah constitue une véritable stratégie de domination idéologique, base de la domination sioniste.

Les espoirs de se libérer de la domination shoatique

En ces temps de rébellion, ceci constitue déjà en soi une vraie difficulté pour le pouvoir : tout simplement parce que le citoyen lambda, même s’il croit à la shoah, accepte de moins en moins la domination qu’il ressent intuitivement, et supporte de moins en moins de devoir se soumettre sans arrêt toujours devant les mêmes millions de morts. Pourquoi cette rébellion ? Nous ne saurions l’expliquer avec des arguments logiques. Nous le constatons et on peut y voir un signe des temps...

Et nous invitons chaleureusement tout un chacun à se demander pourquoi le système sioniste tout entier repose sur la shoah, pourquoi celle-ci constitue pour lui un besoin vital et pourquoi il s'y raccroche sans cesse avec hystérie lorsqu’il se sent menacé. N’y-a-t-il pas là le signe d’une fragilité suspecte ?

Sur cette question fondamentale, le révisionnisme constitue tout simplement la levée du voile sur notre monde, et apporte la pièce ultime au puzzle qui permet de comprendre totalement la véritable nature des société dans lesquelles nous vivons.
Visualisations: 1983 | Ajouté par: veritepourtous | Note: 0.0/0
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